À l'inverse d'une démarche analytique…
Grâce à un véritable changement de paradigme, la technique VITALSEL remet en question la démarche analytique et la méthode expérimentale, pratiquées au sein de l'agriculture conventionnelle, qui, en se basant sur des analyses ou des effets, s'attaquent aux seules conséquences des dysfonctionnements rencontrés.
Elle analyse les éléments chimiques qui composent les sols d'une part (azote, phosphore, potassium, etc.), et les "besoins" des cultures d'autre part, afin d'apporter à ces dernières les éléments censés leur manquer. Mais, ces apports sont pratiqués de manière universelle et systématique, sans se soucier de la disparité et de "l'histoire" de chaque organisme vivant.
Il en est de même pour l'alimentation animale ou humaine. En effet, certains nutritionnistes ainsi que des scientifiques, dont le chimiste allemand Justus VON LIEBIG (1803-1873), considèrent les besoins en éléments minéraux en fonction des exportations. Par exemples :
- Pour produire 1 litre de lait, une certaine quantité de calcium et de phosphore est apportée aux vaches laitières parce qu'il est établi que ces éléments se trouvent dans le lait.
- Étant donné que la céréale exporte du calcium, du phosphore, du potassium…, il semble nécessaire d’en apporter au sol.
Les résultats des expérimentations pratiquées ont été standardisés pour s'appliquer au plus grand nombre. Pourtant, en aucun cas, un exemple ne peut servir de preuve empirique pour devenir une généralité appliquée à l'ensemble des exploitations agricoles possédant, chacune, sa propre spécificité.
En effet, chaque résultat d’une expérimentation est conditionné par une multitude de paramètres intrinsèques à une exploitation donnée : microclimat, typicité géographique, phénomène des mémoires (précédents culturaux, évènements antérieurs ayant une incidence sur la production végétale ou animale...) etc.
…Pour une démarche synthétique
À l'inverse, motivée par la recherche des causes des dysfonctionnements rencontrés, notre démarche, faisant appel à la réflexion, est synthétique (voir, juger, agir) et permet ainsi de prévenir les difficultés.
Elle prend en compte de façon plus globale la terre et les cultures qu'elle porte ou portera ainsi que les animaux qui y vivent et en vivent, en considérant les interactions entre tous les êtres vivants et les fonctionnalités biologiques propres à chacun.
Notre méthode n'agit pas dans le but de détruire mais en faveur de la biodiversité !
En outre, au lieu d'influer directement sur un facteur externe affectant la production agricole, les composés minéraux VITALSEL interviennent, à la source, dans la stimulation des processus naturels. Les systèmes biologiques deviennent alors capables de s’adapter, afin de mieux répondre aux contraintes pédoclimatiques.
Ne vaut-il pas mieux, en effet, prévenir que guérir en prenant des mesures préventives plutôt que palliatives, voire curatives ?
Avec VITALSEL, il ne s'agit pas de lutter contre des symptômes mais de résoudre les problèmes de fond, en étudiant leurs causes !
Marcel Thébault interpelle l'agriculteur afin qu'il raisonne et agisse par lui-même et non pas de façon systématique tel que l'enseigne l'agriculture industrielle :
"Qui est le plus proche de votre terre, si ce n'est vous-même ? Bien sûr, un conseil n'est jamais à négliger".
Et il reproche le manque d'autonomie dont font preuve certains cultivateurs et éleveurs :
"Un paysan qui attend tout de l’autre est-il encore un paysan digne de ce nom ? Dans ce cas il aura besoin d’un programme sophistiqué, taillé sur mesure, détaillé au milligramme ou au mètre carré près. Ce n’est pas notre logique. Où sont donc passés ses intuitions, ses savoirs ancestraux, ses pratiques qu’il a apprises par son expérience ou celle de son père ou de ses aïeux ? Aura-t-il toujours besoin d’un tuteur ?"
Faisant appel au "bon sens paysan", VITALSEL souhaite la responsabilisation des principaux acteurs de l'agriculture d'aujourd'hui.
Pourquoi remettre en cause le système actuel ?
L’agriculture conventionnelle, un des modèles de production le plus pratiqué à travers le monde, a recours à des intrants chimiques et à une mécanisation poussée. Or, inéluctablement, ce système agricole, qui prône des pratiques intensives et une utilisation excessive de produits phytosanitaires, mène à un désordre électromagnétique, à un appauvrissement des milieux et des espèces, à un épuisement des sols (terre amorphe, dépourvue de vie, baisse de teneur en matière organique, salinisation, etc.).
La santé humaine est, également, directement impactée par une agriculture productiviste, dont les dérives touchent aussi bien les exploitants agricoles que les consommateurs, qui doivent faire face à de nouveaux maux (exposition aux perturbateurs endocriniens, nanoparticules, risques de cancers, infertilité, etc.).
Causes des dysfonctionnements
Outre un procédé cultural et un élevage intensifs ainsi que des apports d'engrais chimiques et pesticides, d'autres facteurs sont à l'origine des déséquilibres, tels que : problème de géobiologie (croisements et failles telluriques, etc.), problème électrique de mise à la terre, phénomène des mémoires (précédent cultural, évènements antérieurs ayant une incidence sur la production végétale ou animale...), origine des semences ou du bétail, erreurs agronomiques, méthodes culturales inappropriées, apports de substances chimiques, vitamines, antibiotiques, probiotiques, etc., aux sols, aux plantes et aux animaux, stress biotiques ou abiotiques chez les végétaux, mais aussi stress de la terre ou du paysan...
Marcel Thébault constate à ce propos :
"Bien souvent, nos terres gardent longtemps des informations contradictoires, données de façons répétitives, par de nombreux apports d’amendements, d’engrais, de pesticides et n’arrivent plus à porter la vie dans des conditions normales".
Le déséquilibre provoque une vulnérabilité face aux maladies et aux parasites. Le composé minéral VITALSEL rétablit l’équilibre électromagnétique. En tant qu'inducteur, il favorise l’action des ferments (enzymes), afin de permettre aux organismes vivants, non seulement de s'autodéfendre, mais aussi, de s'autoéquilibrer en matière de minéraux et d'oligo-éléments.
Pour un équilibre électromagnétique en faveur de la vie
Incontestablement, en ajoutant du calcium, du phosphore, de la potasse, des vitamines de synthèse, etc., nous bouleversons l’équilibre naturel du vivant ! Nous perturbons ainsi l'activité des ferments (enzymes) qui composent chaque cellule.
Or, nous devons considérer les grandes possibilités de la matière vivante, capable de s’auto-équilibrer, en ce qui concerne les oligo-éléments et les minéraux, grâce à l’action des enzymes, générateurs de transmutations biologiques.
Un des célèbres pères de la chimie moderne, Antoine Laurent LAVOISIER (1743-1794) s'exprimait ainsi : "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme".
Qu'est-ce qu'une transmutation biologique ?
Lors d'un processus biologique spontané ou favorisé par une catalyse (grâce notamment au composé minéral VITALSEL, agissant en tant qu'inducteur), une réaction chimique, à faible énergie, sans radioactivité détectable, se produit au niveau de l'atome.
À l'aide d'enzymes et coenzymes, chaque organisme vivant est en mesure de transformer lui-même une substance en une autre, en fusionnant 2 éléments chimiques simples, pour en créer un troisième, ou en retranchant des particules d'un élément simple afin de créer un nouvel élément simple.
En considérant les travaux réalisés par le biologiste Corentin Louis KERVRAN (1901-1983), à propos de la transmutation des éléments chimiques, il n’est plus possible d’appréhender les carences minéralogiques de manière conventionnelle.
Selon ce scientifique, 5 règles précises permettent aux transmutations biologiques de se réaliser :
De nombreux phénomènes dits "aberrants" trouvent leur explication dans la théorie de Kervran. Par exemple, le calcium des os viendrait du magnésium absorbé. Cela peut se traduire au sein de tous les êtres vivants : sol - plantes - animaux - humains.
Autres exemples :
- La prêle est bien connue pour contribuer à la recalcification. D’ailleurs, les Romains s’en servaient pour traiter les fractures osseuses. Or, la prêle, riche en silicium organique, contient très peu de calcium. C’est ainsi que Kervran nous démontre la transformation du silicium en calcium dans l’organisme : Silicium (Si 28) + carbone (C 12) + ferments ⇒ calcium (Ca 40)
- Parce qu’elles transmutent un autre élément en calcium, les pâquerettes, riches en chaux (carbonate de calcium), poussent sur des gazons dont le sol est plus ou moins épuisé en calcium.
- Cela explique également pourquoi des sols en jachère peuvent retrouver leur richesse minéralogique.
- La pierre siliceuse qui compose certains monuments est sujette à la formation en surface d’une couche de gypse (sulfate de calcium) qui éclate. Selon Kervran, cette détérioration est provoquée par des moisissures, des microorganismes utilisant le silicium des pierres afin de le transmuter en calcium. La dégradation de la pierre peut être stoppée à l’aide d’acides tuant ces microorganismes.
- De même, le calcium du poussin nouveau-né est beaucoup plus important que dans l’œuf.
- Le chêne se développe très bien en terrain dépourvu de calcium et pourtant sa composition en cet élément est très importante.
- Le pissenlit pousse aussi en terrain non calcaire et pourtant…